Coup de coeur : Jimmy Oihid


JIMMY OIHID : SALAM ALIKOUM ALGERIE
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La pochette de l'album
Pochette de l'album Salam alikoum Algérie

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Les titres de l'album

Salam Alikoum
I love Africa
Rai
Denya
Ballade pou les enfants
Blonde ou brune
Saaft Koum
Tah al il
Moui Drahem
President
One 2 Free
Yawai Dine
Boudiaf
La mariée
Y'en a marre

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Article de presse
Voix de tonnerre
Jimmy Oihid est avant tout une voix. Une voix terrible qui surgit des tripes. En chantant, il l’utilise tel un instrument de musique, un instrument sauvage nous renvoyant au cris des musiques traditionnelles africaines mais aussi James Brown, aux Blues et Jazz. Découvert dans les années 80, il fut assimilé à la mouvance World et Rai, mais Jimmy est autre chose. C’est ce qui se remarque à l’écoute de l’un de ses albums et les morceaux “Egypt”, “Halwa”, “Zaouch”, “N’sat dinh’ha”, “Oihid blues”, “Tah Al-lil”, “Vivre libre”, “Raï”, “Jimmy”, “Moul Drahem”, et “Président”. Jimmy entonne ces morceaux en arabe, français et anglais. Malade dès son jeune âge, il quitte l’Algérie pour Lyon et passe pas moins de quinze ans dans un hopital. Seul, il s’accompagne de musique notamment les pubettes à Brassens et les rythmes blues. Une infirmière lui annonça “Tu chantes bien, gamin. Un jour, tu seras en haut de l’affiche”. L’histoire lui donna raison et c’est en béquilles que Jimmy se produit aujourd’hui un peu partout. Il s’accompagne de Ali Zaghouani (basse), Med Zaghouani (guitare), Martial Mancanlag (batterie), Michel Rodriguez (clavier, saxophone), Olivier Desthéphanie (trombone), Michel Buatois (saxo tenor), Roland Gallina (Trompette) et Antoine Olivier (guitare).
Alain Gardinier l’évoque dans “Rock and Folk” dans les termes suivants, “Quand Jimmy dit “What I’d say”, c’est comme qui dirait tout le Maghreb qui chante en anglais. Quand Jimmy Oihid racle sa gorge, c’est du blues en barre. A écouter de toute urgence, la voix, l’homme et l’histoire se téléscopent

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Voix rebelle, enrouée de blues, l'acrobate Jimmy Oihid (pronocez Warid) joue une musique puissante et simple à la fois, pleine d'arabo-funk-soul et de délicieux clins d'oeil du reggae et au Chaâbi, "sa ratatouille à la harissa" s'il avoue un grand amour pour le chaâbi, tout en ne détestant pas le Raï, le James Brown algérien aime jouer à saute-frontières. "Moi, c'est de la world-music que je fais !"

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